Suicides par pendaison

Dans la nuit du 1er au 2 mars, le nommé Jean CHEVALIER, dit DAVID, célibataire, ouvrier maréchal-ferrant au hameau des bertins, commune de Narcy, s'est pendu à la rampe de l'escalier de la maison de son propriétaire.
CHEVALIER, indigent et infirme, avait manifesté l'intention de se donner la mort ; avant de se suicider, il avait absorbé un demi-litre d'eau-de-vie.
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Le 2 mars, M. Pierre PICARD, âgé d'environ soixante ans, célibataire, originaire de Couy (Cher), ouvrier sabotier, à Moiry, commune de Saint-Parize-le-Châtel, s'est suicidé en se pendant dans la chambre de l'auberge GLAUD, où il était pensionnaire.

Journal de la Nièvre - 04/03/1899